Touche finale : gouache blanche

• La gouache blanche, bien qu'opaque, peut ajouter de belles touches de lumière aux endroits désirés. Il faut par contre l'utiliser avec parcimonie ! Je la mélange avec un peu d’eau, jusqu’à ce qu’elle ait une consistance onctueuse qui s’étend bien, mais pas trop claire pour éviter la transparence.

• Dans le cas du chardonneret, j’ai mis des touches de gouache dans le centre de la fleur pour les reflets et sur le bout des pointes.

• J’ai mis de la gouache sur le côté ensoleillé de la tige aussi. Ma technique est toujours la même : j’applique une mince bordure de gouache, je rince mon pinceau, je l’essuie et je repasse pour dégrader doucement le blanc. À quelques endroits j’ai appliqué du blanc à la brosse sèche sur la tige.

• Il y a de la gouache aussi sur le dessus de la tête et du bec.

• Je retouche le blanc de l’œil parce que je trouve que le blanc du papier n’est jamais assez blanc.

• Je mets de petites touches de gouache autour de l’oiseau et sur le dessus de la tête pour faire des plumes « retroussées » qui dépassent. Dans le cas présent, j’en ai mis du côté de l’ombre, je voulais donc que ces plumes soient dans l’ombre aussi. J’ai donc recouvert le blanc de la gouache avec du jaune mêlé de gris.